Illustration : avec le scandale du covid, la mise en accusation de la Ministre de la santé, etc. la Balance de la justice prend des couleurs
Quand il reçoit mon mail qui décrit les 9 armes contre le covid, un député LREM me répond élégamment :
“Arrêtez de m’emmerder !”
Je lui réponds élégamment … en lui rappelant la loi.
Si les éléments suivants sont réunis, il y a non-assistance :
- La personne en danger fait face à un péril grave et imminent qui menace sa vie ou son intégrité,
- Le témoin a conscience de ce danger,
- Le témoin s’abstient d’aider la victime ou d’alerter les secours.
Alerter les secours
Lorsqu’en 2018 je deviens Lanceur d’alerte pour le scandale sanitaire de la phagothérapie, ce n’est pas de gaité de coeur.
J’aurais préféré me consacrer à mes projets de composition musicale.
Dura lex sed lex, la loi est dure mais c’est la loi : je dois assistance aux Français en danger !!!
Et je précise …
Péril grave et imminent
En 2018, il y a péril grave et imminent pour des milliers de personnes dont ma voisine attaquée par une bactérie qui se moque des antibiotiques.
Depuis 2019, il y a péril grave et imminent pour les Français qui, chaque jour, sont infectés par le covid.
Aider la victime
Avec mes 9 armes contre le covid, je suis en mesure d’aider toute personne concernée par le covid.
Le témoin a conscience de ce danger
C’est bien le problème du Lanceur d’alerte, c’est qu’il a conscience.
Là où les uns disent : “Même pas peur !“
Là où les autres disent : “Au secours y-a un virus !” mais sont incapables de choisir ou de développer un antiviral industriel.
Le Lanceur d’alerte dit à la fois :
- il y a un vrai danger pour quantité de Français,
- il y a un état avancé du savoir – centaines de publications académiques sur les virus en général et le covid en particulier, sur la déficience ou l’emballement du système immunitaire, etc.
- qui permet de concevoir et de mettre en place la thérapie à 9 armes.
Le droit au suicide ?
Si le député LREM dont je parlais plus haut veut crever comme un chien du covid est-ce que c’est son droit ?
Eh bien non ! Du moins tant qu’il ne m’a pas fourni la preuve qu’il se suicide en étant sain d’esprit !!!
S’il me fournit cette preuve, je suis dégagé de mon devoir d’assistance.
J’attends de ses nouvelles …
Ressources
Non-assistance à personne en danger sur Service public.