Les 12 articles + sur la Seconde médecine

Trois histoires vraies vues dans le rapport 2016 de l’ANSM – nous donnons des noms et des visages aux patients qui, dans le rapport, sont des numéros.

 Diana a 13 ans 1/2 et un rein unique.
Ce rein est en risque de destruction par une bactérie multirésistante.
Diana est en danger de mort.
Décision de l’ANSM : On ne cultivera pas les phages qui pourraient sauver Diana

Irène a 66 ans et un poumon unique.
Elle a déjà été soignée avec succès par les phages.
Irène est en danger de mort.
Décision de l’ANSM : On ne cultivera pas les phages qui pourraient sauver Irène

 Younès a 2 ans, il a un foie transplanté.
Son foie est en danger de destruction par une bactérie multirésistante.
Younès est en danger de mort.
Décision des l’ANSM : On ne cultivera pas les phages qui pourraient sauver Younès.

Si un collégien écrivait dans une rédaction qu’il existe quelque chose de pire que la mort, on s’inquièterait pour sa santé mentale.

Pour l’ANSM ça ne pose aucun problème !!!

Diana, Irène et Younès vont mourir.

Même si la phagothérapie présentait quelque risque – ce qui n’est pas le cas – il ne peut pas leur arriver + que la mort !!!

Pour l’ANSM si !

La phagothérapie est interdite en France parce qu’un règlement totalement fou la soumet à des impératifs sanitaires kafkaïens qui ont été inventés pour les usines à médicaments.

Dans le corps de Diana, Irène et Younès il y a des milliards de phages, comme dans le corps de chaque être humain.

Juste, il n’y a pas le bon phage donc il faut l’apporter de l’extérieur.

Importer dans un corps des phages est mille fois moins risqué que d’importer du sang ou un organe.

Parce qu’un phages est un “petit truc” d’une grande simplicité et qu’on sait parfaitement isoler.

Le processus est enseigné aux élèves de classe terminale !!!