Les 12 articles + sur la Seconde médecine
Bilan
D’un côté l’ensemble des acteurs du système de santé va réaliser des économies colossales :
– à l’hôpital
– en pratiques de ville
– en arrêts de travail
– en pensions d’invalidité
– etc.
Comparés à ces économies colossales et quasi immédiates, les coûts sont très faibles.
Des économies colossales
Des coûts de mise en place remarquablement faibles
Reprenons les trois exemples de l’article “Des économies colossales”.
Ablation de la vésicule biliaire
Création d’une formation en ligne à la méthode d’Hippocrate pour l’évacuation des calculs biliaires.
Massage global continu du tissus conjonctif profond MGCTCP
Création d’une formation en ligne au MGCTCP.
Création d’une formation pratique dans les écoles de kinésithérapie, formation ouverte aux psychologues.
Mise en place de supervisions pour les kinésithérapeutes, psychiatres et psychologues.
Phagothérapie
Consultation des spécialistes français de la phagothérapie pour constituer :
– le référentiel pour la culture locale des phages dans les hôpitaux régionaux
– le référentiel pour la phagothérapie
Création de formations en ligne :
– à la culture des phages
– à la phagothérapie
Organisation de stages pratiques dans les services hospitaliers pratiquant déjà la phagothérapie.
Globalement
Pour tous les intervenants de la Seconde médecine il est nécessaire de réaliser une formation en ligne “généraliste” de manière à ce que les praticiens aient un vocabulaire unifié afin d’échanger entre eux et avec les acteurs de la Première médecine.
Cette formation est à construire en particulier avec les écoles les plus sérieuses de naturopathes.
Création de l’ANQSM : Agence Nationale pour la Qualité de la Seconde médecine
Coût très faible puisqu’un nombre certain de médecins de l’ANSM ne sont plus partant pour la politique actuelle qui laisse mourir, amputer, invalider des milliers de patients.
Ces médecins – certains étant en arrêt maladie pour burn-out – pourraient rejoindre l’ANQSM après une formation généraliste à la Seconde médecine évoquée plus haut.
Création de l’INRiSM : Institut National de la Recherche et de l’Innovation pour la Seconde Médecine
Coût très faible puisqu’il s’agit de sortir de l’INSERM les recherches actuelles sur la Seconde médecine – phagothérapie, aromathérapie, phytothérapie, jeûne prolongé, etc.
Avec transfert de leurs faibles budgets.
Les économies colossales réalisées en soignant-sauvant des patients permettant de développer l’INRiSM.
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